“Après avoir porté un nouveau né ou réglé la bonne ordonnance d’un mariage, la bonne d’antan ou la Da, pour vaquer à ses occupations, enlevait sa robe de cérémonie pour endosser sa belle gaule blanche, en batiste, ornée de plis, de nervures, de dentelles, ceinturée d’une grosse cordelière. Elle gardait tous ses bijoux et sa chaudière, signe indéniable que c’était fête et réjouissances.”