Conseiller municipal.
Equipe Municipale
Commissions municipales et délégations dans les organismes extérieurs 2014-2020
Commissions municipales & délégations dans les organismes extérieurs.
2014-2020
Benjamin Panzo
1er adjoint – Délégué aux affaires sociales.
Poursuivre l’accessibilité de la ville pour les personnes à mobilité réduite
Des réponses fortes et concrètes ont sanctionné les problématiques liées à l’exclusion et aux inégalités sociales, afin de mieux vivre la solidarité à Rivière-Salée
Avec les personnes porteuses de handicaps :
2 structures d’accueil sur la commune :
- La M.A.S. (Maison d’accueil spécialisé) de 40 places. Le terrain donné par la municipalité à l’ADAPEI (association départementale des amis et parents d’enfants inadaptés).
- Un atelier occupationnel créé à l’initiative de parents et du CCAS (accueille des jeunes adultes ne pouvant être admis dans les structures classiques).
1 permanence MDPH se tient tous les mercredis matin au CCAS. D’ailleurs l’analyse des besoins sociaux de 2016 à eu pour thème : Le Handicap.
Nous informons en permanence sur des droits des personnes handicapées depuis la loi de 2005 et des prestations auxquelles elles peuvent prétendre.
Nous avons eu l’occasion de d’organiser des manifestations dans le cadre de la semaine nationale des personnes handicapées.
Nous avons organisé des après-midi récréatives spécialement réservée aux personnes porteuses de handicap.
Nous avons signé la charte ville et handicap en 2001.
Tous les bâtiments communaux sont accessibles (mairie, Poste, Police, Services Technique etc.…)
La ville a obtenu 1 prix d’encouragement décerné en 2005 afin de récompenser son action pour l’accessibilité.
M. Panzo a participé au film hommage à Hermann Panzo.
Nicole Sylvestre
5e adjointe – Déléguée au sport, à la politique d’animation sportive et à la gestion des équipements sportifs
Poursuivre le projet de création du pôle d’activité de Maupéou
Depuis quand date ce projet et qui en est à l’initiative ?
Il me semble important de rappeler que c’est en 2004 que la municipalité avait fait l’acquisition du terrain de 9.5 hectares afin d’y aménager une zone d’activités artisanale et commerciale.
Pourquoi ce projet est donc géré par l’Espace Sud et non par la ville de Rivière-salée ?
La communauté d’agglomération ayant récupéré la compétence développement économique, la ville lui a proposé ce terrain et la cession a été validée par le conseil municipal en 2007.
Pourquoi le projet est-il si long à voir le jour ?
Ne voyant pas le projet avancer, notre maire n’a pas cessé pendant plusieurs années de questionner le président de la communauté sur ce qui bloque.
En 2012, enfin, un projet d’aménagement est présenté puis validé par le conseil communautaire le 21/06/2012.
Que contient le projet ?
Le projet prévoit :
– Un pôle accompagnement des entreprises qui comprend des infrastructures type couveuse, pépinière et hôtel d’entreprises ainsi que un espace dédié à l’implantation du siège de la communauté.
– Un pôle production industrielle et logistique agroalimentaire qui prévoit un volet transformation/valorisation des produits locaux, ainsi qu’un volet logistique (stockage et distribution).
– Une déchetterie afin de recueillir les déchets de la zone mais qui sera ouverte également à tout l’ensemble de l’Espace Sud.
Des projets, des idées, mais pas d’avancées significatives
Cette même année 2012, un projet « agro-alimentaire » est présenté par les entreprises SOCARA et LAUZEA FRERES et reçoit un avis favorable du bureau communautaire. Interface entre l’agriculture et la transformation locale, elle prévoyait l’implantation :
– d’une plate-forme de production
– d’un espace dédié à la vente et à l’exposition
Finalement ces projets ont été abandonnés. Il semble y avoir une orientation vers un projet de cinéma, d’entreprises innovantes…
Quelle est la situation aujourd’hui ?
A cette date, la seule avancée significative concerne le projet de construction du siège.
En effet, l’Espace Sud a décidé de réaliser un nouveau bâtiment afin d’améliorer les conditions de travail des personnels, des élus, et de faciliter l’accès aux usagers.
Un plan d’aménagement nous a été présenté et nous espérons voir, très bientôt, poser la première pierre.
Emile Soundorom
6e adjoint – Délégué aux finances, au budget et aux comptes
Le relamping
C’est quoi le relamping ?
A bien y regarder, le mot relamping peut être compris de tous après une réflexion de quelques instants, même pour les non anglophones. Si l’on décompose le mot nous avons donc re-lamp-ing : action de lamper à nouveau… Quelques secondes plus tard, la traduction se fait de soi, le relamping c’est remplacer une ampoule par une autre !
L’éclairage public coûte très cher aux saléens
L’éclairage public constitue un poste significatif de dépenses pour la commune, nous nous sommes trouvés confrontés à la nécessité d’améliorer le service d’éclairage, tout en limitant les dépenses.
Nous devons prendre en compte tous les paramètres
Les choix que nous avons faits et les opérations que nous avons réalisées répondent aux engagements vis avis des électeurs, mais ils sont aussi tributaires d’évènements extérieurs qui s’imposent à nous et qui nous amènent à infléchir nos perspectives.
Un évènement extérieur majeur : la crise financière de 2008
La crise financière de 2008 qui a eu un impact fort sur les économies nationales, ainsi que les finances des collectivités avec une réduction non négligeable des aides publiques de l’Etat jusqu’à ce jour.
Nous voulons compenser les pertes de subvention de l’Etat et faire des économies
Nous avons choisi l’éclairage public de la ville pour lequel nous venons de lancer un programme ambitieux de réhabilitation de son parc sur 4 ans avec le partenariat de EDF et de l’ADEM.
Quel est la part de consommation de l’éclairage public dans la consommation globale ?
L’éclairage public représente près de 58 % de la consommation d’électricité de notre commune.
Comme il participe à la pointe d’appel de puissance, l’éclairage public est aussi émetteur de gaz à effet de serre.
Quel est l’ancienneté de nos équipements d’éclairage public ?
En outre les équipements existants anciens datent de 1988 pour les réseaux en campagne et 1995 pour le bourg et son environnement.
Pour la sécurité de nos concitoyens
L’éclairage public est amené à jouer un rôle de plus en plus important pour la sécurité routière et des personnes ainsi que la lutte contre le vandalisme.
Un investissement important, mais payant !
Les réductions de consommation passent inévitablement, par un investissement important dans les rénovations à engager à savoir :
Le remplacement des armoires d’éclairages (64) et de 2 252 points lumineux répartis sur les zones d’influence de ces transformateurs.
Un système hautement performant
De tous les systèmes testés, la solution de la LED offre une technologie qui présente des avantages nombreux comparés aux ampoules classiques. Le seul dommage elles ne peuvent pas être adaptées sans surcoût de main d’œuvre excessif aux appareils existants. Il a fallu donc acquérir de nouvelles lanternes.
Des chiffres éloquents pour une réelle économie
A puissance lumineuse égale les ampoules à LED consomment dix fois, ont une durée de vie 12 à 15 fois supérieur. L’intégration de ces LED permettra d’économiser jusqu’à 70% d’énergie par rapport aux lampes à vapeur de mercure.
Quand verra-t-on les premières économies ?
Cette nouvelle technologie qui nécessite un fort investissement s’amortit à court terme.
Globalement 40 à 60% des consommations électriques associées ont été réduites pour ce qui concerne la première tranche de travaux, résultats confirmés voire en augmentation au vu des nouveaux tests effectués de nuit entre 22 h et 04 h